Cet investissement porte le montant total injecté dans Climeworks depuis sa création, en 2009, à plus de 120 millions de francs. La start-up zurichoise entend déployer sa technologie de capture de dioxyde de carbone, un dispositif qui permet de filtrer le CO2 et d’utiliser l’air exempt de CO2, par exemple comme engrais pour les serres ou pour gazéifier les boissons.

«Notre objectif est d’inspirer un milliard de personnes à éliminer le dioxyde de carbone de l’air», déclare Christoph Gebald, cofondateur. Climeworks ambitionne ainsi de capturer 1% des émissions de CO2 dues à l’homme d’ici à 2025. Le spin-off de l’ETH Zurich, classé durant quatre ans dans le Top 100 des start-up de Venturelab (publié par la HandelsZeitung et PME Magazine), emploie une centaine de personnes, en Suisse, en Allemagne et aux Pays-Bas. Sa technologie intéresse également les industries de l’automobile et de l’aviation.

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