Très impliquée en Russie, Société Générale était exposée à hauteur de 18,6 milliards d'euros (près de 19 milliards de francs), dont 15,4 milliards pour Rosbank.
Dans un communiqué, le groupe indique avoir signé "un accord en vue de céder la totalité de sa participation" dans Rosbank, poids lourd du secteur bancaire russe dans lequel il était actionnaire majoritaire, ainsi que ses filiales d'assurance en Russie au fonds d'investissement Interros Capital, le précédent actionnaire de Rosbank.
"Avec cet accord, conclu au terme de plusieurs semaines de travail intensif, le groupe se retirerait de manière effective et ordonnée de Russie en assurant une continuité pour ses collaborateurs et ses clients", met en avant la banque.
Société générale souligne que la transaction "envisagée" reste soumise à l'approbation des autorités compétentes en matière réglementaire et de droit de la concurrence, et que sa finalisation "devrait intervenir dans les prochaines semaines".
Dans ses comptes, cette cession "devrait conduire à un impact négatif de 3,1 milliards d'euros, soit 2,2 milliards de dépréciation et 1,1 milliard d'"élément exceptionnel".
Très impliquée en Russie, Société Générale était exposée à hauteur de 18,6 milliards d'euros (près de 19 milliards de francs), dont 15,4 milliards pour Rosbank.
Dans un communiqué, le groupe indique avoir signé "un accord en vue de céder la totalité de sa participation" dans Rosbank, poids lourd du secteur bancaire russe dans lequel il était actionnaire majoritaire, ainsi que ses filiales d'assurance en Russie au fonds d'investissement Interros Capital, le précédent actionnaire de Rosbank.
"Avec cet accord, conclu au terme de plusieurs semaines de travail intensif, le groupe se retirerait de manière effective et ordonnée de Russie en assurant une continuité pour ses collaborateurs et ses clients", met en avant la banque.
Société générale souligne que la transaction "envisagée" reste soumise à l'approbation des autorités compétentes en matière réglementaire et de droit de la concurrence, et que sa finalisation "devrait intervenir dans les prochaines semaines".
Dans ses comptes, cette cession "devrait conduire à un impact négatif de 3,1 milliards d'euros, soit 2,0 milliards de dépréciation et 1,1 milliard d'"élément exceptionnel".