En présentant la conférence il y a un mois, le président de la Confédération Ignazio Cassis avait affirmé que l'un de ces deux dirigeants viendrait au Tessin, mais que la décision serait prise au dernier moment. La situation sécuritaire ne permet pas à M. Zelensky de quitter son pays.

Face à la guerre, "il est la première personne responsable. La loi l'oblige à rester en Ukraine", a dit jeudi à Berne à la presse l'ambassadeur ukrainien en Suisse Artem Rybchenko. Il ajoute pour autant que le chef de l'Etat, qui s'exprimera pas vidéo, a été associé à la préparation de la conférence "dès le début".

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M. Zelensky avait d'ailleurs relevé lors du Forumé économique mondial (WEF) à Davos (GR) l'importance de la conférence pour son pays. L'ambassadeur a ajouté que M. Chmygal dirigera une délégation officielle de plus de 60 personnes, dont sept ministres ou vice-ministres parmi lesquels le chef de la diplomatie Dmitro Kuleba.

"Questions techniques"

Au total, plus de 100 Ukrainiens participeront, dont une vingtaine de parlementaires et des représentants régionaux, du secteur privé et de la société civile. M. Rybchenko a tenu à éteindre toute polémique sur le manque de représentativité de l'opposition parmi les parlementaires. "On ne parle pas de politique, mais de questions techniques", dit-il. Les chefs des commissions seront là. Or, ils font tous partie du parti présidentiel, ajoute M. Rybchenko.

Plus largement, plus d'un millier de participants de haut niveau sont attendus, dont Ignazio Cassis. Parmi eux, aucun chef d'Etat, mais quelques chefs de gouvernement, dont ceux de la République tchèque, qui assure la présidence de l'UE, de la Lituanie ou de la Pologne.

Une quinzaine de ministres des Affaires étrangères au total feront le déplacement. De leur côté, les grandes puissances ne seront souvent représentées qu'au niveau vice-ministériel.

En présentant la conférence il y a un mois, le président de la Confédération Ignazio Cassis avait affirmé que l'un de ces deux dirigeants viendrait au Tessin, mais que la décision serait prise au dernier moment. La situation sécuritaire ne permet pas à M. Zelensky de quitter son pays.

Face à la guerre, "il est la première personne responsable. La loi l'oblige à rester en Ukraine", a dit jeudi à Berne à la presse l'ambassadeur ukrainien en Suisse Artem Rybchenko. Il ajoute pour autant que le chef de l'Etat, qui s'exprimera pas vidéo, a été associé à la préparation de la conférence "dès le début".

M. Zelensky avait d'ailleurs relevé lors du Forumé économique mondial (WEF) à Davos (GR) l'importance de la conférence pour son pays. L'ambassadeur a ajouté que M. Chmygal dirigera une délégation officielle de plus de 60 personnes, dont sept ministres parmi lesquels le chef de la diplomatie Dmitro Kuleba.

"Questions techniques"

Au total, plus de 100 Ukrainiens participeront, dont une vingtaine de parlementaires et des représentants régionaux, du secteur privé et de la société civile. M. Rybchenko a tenu à éteindre toute polémique sur le manque de représentativité de l'opposition parmi les parlementaires. "On ne parle pas de politique, mais de questions techniques", dit-il. Les chefs des commissions seront là. Or, ils font tous partie du parti présidentiel, ajoute M. Rybchenko.

Plus largement, plus d'un millier de participants de haut niveau sont attendus, dont Ignazio Cassis. Parmi eux, aucun chef d'Etat, mais quelques chefs de gouvernement, dont ceux de la République tchèque, qui assure la présidence de l'UE, de la Lituanie ou de la Pologne.

Une quinzaine de ministres des Affaires étrangères au total feront le déplacement. De leur côté, les grandes puissances ne seront souvent représentées qu'au niveau vice-ministériel.

En présentant la conférence il y a un mois, le président de la Confédération Ignazio Cassis avait affirmé que l'un de ces deux dirigeants viendrait au Tessin, mais que la décision serait prise au dernier moment. La situation sécuritaire ne permet pas à M. Zelensky de quitter son pays.

Face à la guerre, "il est la première personne responsable. La loi l'oblige à rester en Ukraine", a dit jeudi à Berne à la presse l'ambassadeur ukrainien en Suisse Artem Rybchenko. Il a ajouté que le chef de l'Etat, qui s'exprimera par vidéo, a été associé à la préparation de la conférence "dès le début".

M. Zelensky avait d'ailleurs relevé lors du Forum économique mondial (WEF) à Davos (GR) l'importance de la conférence pour son pays. L'ambassadeur a ajouté que M. Chmygal dirigera une délégation officielle de plus de 60 personnes, dont sept ministres parmi lesquels le chef de la diplomatie Dmitro Kuleba.

"Questions techniques"

Au total, plus de 100 Ukrainiens participeront, dont une vingtaine de parlementaires et des représentants régionaux, du secteur privé et de la société civile. M. Rybchenko a tenu à éteindre toute polémique sur le manque de représentativité de l'opposition parmi les parlementaires. "On ne parle pas de politique, mais de questions techniques", a-t-il dit. Les chefs des commissions seront là. Or, ils font tous partie du parti présidentiel, a ajouté M. Rybchenko.

Plus d'un millier de participants de haut niveau sont attendus à Lugano, dont Ignazio Cassis. Parmi eux, aucun chef d'Etat, mais quelques chefs de gouvernement, dont ceux de la République tchèque, qui assure la présidence de l'UE, de la Lituanie ou de la Pologne.

Une quinzaine de ministres des Affaires étrangères au total feront le déplacement. De leur côté, les grandes puissances ne seront souvent représentées qu'au niveau vice-ministériel.

En présentant la conférence il y a un mois, le président de la Confédération Ignazio Cassis avait affirmé que l'un de ces deux dirigeants viendrait au Tessin, mais que la décision serait prise au dernier moment. La situation sécuritaire ne permet pas à M. Zelensky de quitter son pays.

Face à la guerre, "il est la première personne responsable. La loi l'oblige à rester en Ukraine", a dit jeudi à Berne à la presse l'ambassadeur ukrainien en Suisse Artem Rybchenko. Il a ajouté que le chef de l'Etat, qui s'exprimera par vidéo, a été associé à la préparation de la conférence "dès le début".

M. Zelensky avait d'ailleurs relevé lors du Forum économique mondial (WEF) à Davos (GR) l'importance de la conférence pour son pays. L'ambassadeur a ajouté que M. Chmygal dirigera une délégation officielle de plus de 60 personnes, dont sept ministres parmi lesquels le chef de la diplomatie Dmitro Kuleba.

"Questions techniques"

Au total, plus de 100 Ukrainiens participeront, dont une vingtaine de parlementaires et des représentants régionaux, du secteur privé et de la société civile. M. Rybchenko a tenu à éteindre toute polémique sur le manque de représentativité de l'opposition parmi les parlementaires. "On ne parle pas de politique, mais de questions techniques", a-t-il dit. Les chefs des commissions seront là. Or, ils font tous partie du parti présidentiel, a ajouté M. Rybchenko.

Plus d'un millier de participants de haut niveau sont attendus à Lugano, dont Ignazio Cassis, la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga ou encore la présidente du Conseil national Irène Kälin (Verts/AG). Parmi eux, aucun chef d'Etat, mais quelques chefs de gouvernement, dont ceux de la République tchèque, qui assure la présidence de l'UE, de la Lituanie ou de la Pologne.

Au total, une quinzaine de ministres de différents pays feront aussi le déplacement. De leur côté, les grandes puissances qui seront présentes n'enverront souvent que des vice-ministres.

En présentant la conférence il y a un mois, le président de la Confédération Ignazio Cassis avait affirmé que l'un de ces deux dirigeants viendrait au Tessin, mais que la décision serait prise au dernier moment. La situation sécuritaire ne permet pas à M. Zelensky de quitter son pays.

Face à la guerre, "il est la première personne responsable. La loi l'oblige à rester en Ukraine", a dit jeudi à Berne à la presse l'ambassadeur ukrainien en Suisse Artem Rybchenko. Il a ajouté que le chef de l'Etat, qui s'exprimera par vidéo, a été associé à la préparation de la conférence "dès le début".

M. Zelensky avait d'ailleurs relevé lors du Forum économique mondial (WEF) à Davos (GR) l'importance de la conférence pour son pays. L'ambassadeur a ajouté que M. Chmygal dirigera une délégation officielle de plus de 60 personnes, dont sept ministres parmi lesquels le chef de la diplomatie Dmitro Kuleba.

"Questions techniques"

Au total, plus de 100 Ukrainiens participeront, dont une vingtaine de parlementaires et des représentants régionaux, du secteur privé et de la société civile. M. Rybchenko a tenu à éteindre toute polémique sur le manque de représentativité de l'opposition parmi les parlementaires. "On ne parle pas de politique, mais de questions techniques", a-t-il dit. Les chefs des commissions seront là. Or, ils font tous partie du parti présidentiel, a ajouté M. Rybchenko.

Plus d'un millier de participants de haut niveau sont attendus à Lugano, dont Ignazio Cassis, la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga ou encore la présidente du Conseil national Irène Kälin (Verts/AG). Parmi eux, aucun chef d'Etat, mais quelques chefs de gouvernement, dont ceux de la République tchèque, qui assure la présidence de l'UE, de la Lituanie ou de la Pologne.

Au total, une quinzaine de ministres de différents pays feront aussi le déplacement. De leur côté, les grandes puissances qui seront présentes n'enverront souvent que des vice-ministres.

A
ats