La marge opérationnelle a enflé de 40 points de base pour atteindre 16,0%, permettant à l'excédent afférent de progresser plus rapidement que les recettes. L'Ebit a ainsi bondi de 22,7% à 841,9 millions.

A l'exception du bénéfice net, la performance s'inscrit dans le haut de la fourchette du consensus AWP. Les revenus étaient attendus à 5,22 milliards, la marge Ebit à 15,6% pour un résultat de 81 millions. Le bénéfice devait par contre atteindre 603 millions.

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La direction reconduit ses ambitions pour l'ensemble de l'année, comprenant une hausse des recettes en monnaies locales de plus de 10%, qui doit amener le chiffre d'affaires à franchir pour la première fois la barre des 10 milliards. L'Ebit devrait croître de manière plus que proportionnelle.

Le groupe vise toujours à l'horizon 2023 une croissance annuelle de 6 à 8% en monnaies locales et une marge Ebit de 15 à 18%. Des optimisation dans l'organisation et l'approvisionnement doivent alléger la base de coûts de l'équivalent de 0,5% des revenus.

Evoquant la nécessaire approbation de l'opération par les autorités de la concurrence, la multinationale zougoise anticipe désormais une finalisation de l'acquisition de la division MBCC de BASF - annoncée en novembre dernier pour 5,5 milliards de francs - "autour de la fin de l'année" en lieu et place du second semestre 2022 initialement.