Compte tenu d'un taux d'inflation annuel moyen de 2,8%, les salaires réels ont baissé de 1,9% sur un an, selon les calculs des statisticiens fédéraux, alors qu'en termes nominaux, ils ont enregistré une hausse de 0,9%.

Pour les principales conventions collectives de travail (CCT) recouvrant près d'un demi-million de personnes salariées, la croissance des salaires nominaux est ressortie à 0,3%, précise le communiqué.

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Le renchérissement en 2022 a été principalement lié à la hausse des prix du gaz, des produits pétroliers, des voitures et des loyers du logement.

A
ats