"Les conséquences seront assez minimes pour la Suisse, poursuit l'ingénieur agronome au micro de la RTS mardi matin. On aura peut-être des difficultés supplémentaires au niveau de la logistique et des transports, mais l'approvisionnement est assuré".

Les céréales fourragères, passablement importées pour couvrir les besoins indigènes, sont celles qui pourraient le plus souffrir de l'expiration de l'accord, selon M. Perrin. "C'est là que les marchés seront les plus tendus ces prochaines semaines, précise-t-il. Ce sera peut-être un peu compliqué, mais les quantités nécessaires pourront arriver en Suisse", rassure-t-il.

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L'accord sur l'exportation des céréales ukrainiennes, crucial pour l'alimentation mondiale, a expiré lundi soir à 23h00. Moscou a maintenu son refus de prolonger l'accord, signé en juillet 2022 avec l'Ukraine sous l'égide des Nations Unies et de la Turquie.

S
SDA