En cas d'externalisation, Credit Suisse aurait dans tous les cas dû être restructuré, ce qui aurait conduit à 600 licenciements, de sorte que la différence représente finalement 400 postes, indique M. Ermotti dimanche Le Matin Dimanche. «Mais il est clair que chaque poste perdu nous affecte», poursuit-il.

Jeudi, UBS a dévoilé sa stratégie d'intégration de Credit Suisse et annoncé la suppression de 3000 emplois en Suisse. Pas moins de 1000 doublons de poste identifiés seront supprimés d'ici fin 2024.

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Sergio Ermotti affirme ne pas pouvoir pour l'heure s'exprimer sur l'avenir des 120'000 collaborateurs d'ici 2025. «Cela dépend de nombreux développements et des chiffres absolus n'induisent que des malentendus», dit-il.

S
SDA