Le 16 mars, le gouvernement a mis en place les bases d'un «public liquidity backstop» (PLB) en lien avec l'acquisition de Credit Suisse par UBS.

Ce mécanisme intervient lorsqu'une banque ne dispose plus de liquidités propres suffisantes pour remplir ses obligations financières. Ou si l'établissement ne peut plus bénéficier de prêts d'aide extraordinaires octroyés par la banque centrale, faute de sûretés suffisantes.

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Le projet a été bien accueilli en consultation, note le gouvernement dans un communiqué. Pour répondre à une demande largement exprimée, le PLB sera complété par un forfait que les grandes banques devront verser à l'avance à la Confédération. Il sera dû dans tous les cas. Les banques concernées devront aussi s'acquitter de primes et d'intérêts.

S
SDA