Cette décision, nécessaire en raison de lourds investissements, pourrait se traduire par la disparition «de la majorité» de 180 emplois sur le site. Le groupe explique que son site de production, plus que centenaire, souffre de sa taille, des contraintes liées à son emplacement au coeur d'une zone urbanisée et de sa compétitivité.

«Sa rentabilité n'est plus assurée», a averti Vetropack jeudi dans un communiqué.

également interessant
 
 
 
 
 
 

Le four à fusion doit être remplacé, moyennant des dépenses de 30 millions de francs, et «un tel investissement n'est économiquement pas viable dans les conditions actuelles», a poursuivi la société.

«La fermeture de l'usine serait la dernière option», a souligné le directeur général Johann Reiter, ajoutant avoir examiné, sans succès, «toute une série de scénarios de développement».

Les installations de recyclage du verre dans la région ne seraient pas concernées par l'éventuel arrêt de la production à St-Prex.

S
SDA