Corrigée des variations saisonnières, la croissance devrait s'inscrire à 1,2% sur l'ensemble de l'année, ralentie par un repli des investissements. Ceux-ci font particulièrement défaut dans la construction. La branche devrait toutefois se redresser dès la deuxième moitié de l'année, grâce à des projets de génie civil et d'infrastructures publiques.

Malgré la faiblesse conjoncturelle, le marché de l'emploi devrait demeurer solide, avec un faible taux de chômage et une augmentation des salaires réels, prévoient les experts du KOF. De quoi renforcer un pouvoir d'achat grevé par les coûts de la santé et soutenir de ce fait quelque peu la consommation privée, portée également par la croissance démographique.

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L'horizon s'éclaircit pour 2025 avec un produit intérieur brut (PIB) attendu en hausse de 1,8%.

S
SDA