Au vu de la pression sur les coûts, les entreprises de transports publics peuvent être tentées d'abandonner les automates à monnaies ou les caisses à bord des véhicules, déplore le texte. Le fossé numérique risque de se creuser encore plus au sein de la population.

Selon le texte, les entreprises doivent accepter comme moyen de paiement l'argent liquide ou «un autre moyen simple ne nécessitant pas non plus de téléphone portable», comme une carte prépayée, a expliqué Andrea Gmür-Schönenberger (C/LU) pour la commission. La loi oblige que les paiements en espèces soient acceptés sans limitation de la somme, rappelle-t-elle.

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Le Conseil fédéral soutenait la motion.