Les avocats des divers prévenus ont mis en avant la violation du droit d'être entendu de tiers touchés, soit la femme et les enfants d'un accusé, ex-responsable des achats chez Tissot. Pourtant, ces derniers sont touchés par les conclusions civiles et les séquestres.

De son côté, Jean-Daniel Kramer, représentant de la femme de l'ex-responsable de la qualité de Tissot, décédé à fin 2021, a rappelé que les fonds sont bloqués par le séquestre, alors que vu le décès de son mari, les créances compensatrices ne peuvent pas exister. L'avocat demande de mettre un terme à la procédure pour elle.

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Le Ministère public et la partie plaignante étaient opposés à un renvoi. En 1ère instance, les prévenus avaient été acquittés de gestion déloyale aggravée. La corruption était prescrite.