Déposé lundi, ce recours conteste principalement la qualité pour agir de l'unique recourant à l'arrêté du Conseil d'Etat sur l'abaissement de la vitesse. «Si on ne recourt pas, on repart de zéro d'un point de vue juridique, avec la promulgation de nouveaux arrêtés secteur par secteur et la possibilité de nouveaux recours», a déclaré mercredi devant les médias Caroline Marti, présidente de l'ATE Genève.

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Dans un arrêt du 26 mars, le Tribunal administratif de première instance avait donné raison à un policier qui avait poursuivi le combat, après que d'autres opposants avaient accepté le compromis du Département de la santé et des mobilités. Pour la justice, le canton aurait dû justifier l'abaissement de la vitesse à 30 km/h par une expertise pour chacun des tronçons concernés.