L'affaire des faux paraphes a éclaté à l'automne 2024, lorsque des médias ont révélé que des entreprises commerciales étaient soupçonnées d'avoir falsifié des signatures. Plusieurs plaintes pénales ont été déposées. La Chancellerie fédérale a élaboré un code de conduite pour les comités d'initiatives et les organisations de récoltes de signatures, misant sur une autorégulation.

Hormis l'UDC, le Parlement veut désormais aller de l'avant. Les processus de récolte et de vérification de signatures doivent être rapidement numérisés. La Chambre du peuple a dit oui par 95 voix contre 91 et 6 abstentions, mais en précisant que les signatures physiques restent possibles. La motion modifiée repart au Conseil des Etats.

Contenu Sponsorisé