«Le Conseil fédéral peut en tout temps avoir une réunion. Il va très rapidement prendre connaissance (des détails de la position américaine, ndlr) pour comprendre de quoi il s'agit, quel a été le problème à l'origine de la décision du président des Etats-Unis», a dit M. Parmelin.
«Nous allons tout essayer pour montrer notre bonne volonté et retravailler notre offre», a-t-il ajouté. «L'état général du dossier sera dressé très rapidement.»
Le Conseil fédéral était confiant en vue d'une issue favorable après le projet de déclaration d'intention convenu entre les deux parties et approuvé le 4 juillet par le collège. Cette déclaration, obtenue après des mois de discussions, avait été négociée de bonne foi, a encore indiqué M. Parmelin, prêt à se rendre aux Etats-Unis si ceux-ci le demandent.