Le produit d'exploitation a enflé de 9,8% à 301,8 millions de francs, porté par un résultat brut des opérations d'intérêt amélioré de 10,3% à 184,9 millions. Commissions et prestations de services ont livré une contribution élargie de 9,0% à 89,4 millions. Le résultat du négoce a bondi de 16,7% à 26,0 millions, égraine le compte-rendu intermédiaire diffusé mercredi.
Les dépenses d'exploitations ont aussi pris l'ascenseur, mais dans une moindre mesure que les recettes. La facture a été alourdie de 6,8% à 159,8 millions. Il en ressort un résultat d'exploitation en hausse de 11,2% à 133,9 millions.
L'afflux net d'argent frais sur la période a atteint 2,0 milliards et la masse sous gestion a enflé de 3,7% à 66,9 milliards. Le volume de prêts aux clients a grappillé 1,1% pour s'établir à 34,1 milliards.
La direction laisse augurer pour l'ensemble de l'exercice en cours un bénéfice net comparable aux quelque 215 millions dégagés l'an dernier, mais préfère ne pas s'aventurer sinon sur le terrain des perspectives quantifiées en raison des incertitudes non négligeables planant actuellement sur la situation économique.