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Selon le spécialiste du conseil immobilier JLL, le taux d’offre de surfaces disponibles a baissé l’an dernier à 4,5%, après 4,7% l’année précédente.
La forte progression à Bâle s’explique par l’emménagement de Roche dans sa deuxième tour.
Beat ErnstPublicité
Sur les cinq principaux marchés pris en compte dans l’étude du spécialiste du conseil immobilier JLL (Zurich, Genève, Lausanne, Berne et Bâle), le taux d’offre de surfaces disponibles a baissé l’an dernier à 4,5%, après 4,7% l’année précédente. Le volume total de surfaces disponibles a ainsi fondu de 33 800 m2, à 878 200 m2. Le recul a été particulièrement prononcé à Zurich (-52 900 m2) et dans une moindre mesure à Genève (-5000 m2). En revanche, les surfaces disponibles ont augmenté à Lausanne (+1700 m2), à Berne (+7000 m2) et à Bâle (+15 400 m2). Selon l’étude, cette forte progression dans la cité rhénane s’explique par l’emménagement de Roche dans sa deuxième tour, qui a permis de libérer plusieurs espaces situés au centre.
Pour ce qui est des loyers, une légère hausse a été enregistrée en raison d’une forte demande pour les bureaux bénéficiant d’une situation centrale. A Genève, la demande pour les surfaces de bureau a été marquée en 2022, surtout au centre-ville, avec une contraction du taux de vacance à 1,9% fin décembre, contre 3,2% un an plus tôt, dans le quartier des affaires au centre-ville. De son côté, la ville de Lausanne fait face à une offre limitée avec un taux de vacance de 2,2%. Dans le quartier des affaires du centre-ville, le taux de vacance se limite même à 1,5%. Quant à la région de Zurich, l’offre en surfaces de bureau disponibles a diminué de 52 900 m2, à 361 000 m2.
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