Si vous ne faisiez pas ce métier aujourd’hui, que seriez-vous?

Si je n’étais pas conseillère d’Etat, je serais architecte. Et si je n’étais pas architecte, je serais médecin.

Les valeurs qui vous sont essentielles?

Le respect et l’humilité.

Le premier argent que vous avez gagné?

Avec mes cousines, nous avons vendu des pierres aux touristes dans les rues de Zermatt en été pour acheter des feux d’artifice pour le 1er Août.

Trois invités, réels ou fictifs, pour un dîner idéal?

Mes quatre grands-parents. Ils sont tous morts trop tôt et j’aurais beaucoup de questions à leur poser aujourd’hui. Ils ont tant vécu et traversé beaucoup de choses. Je pense qu’il serait bon qu’ils me racontent leur vie. Cette histoire me rappellerait d’où nous venons et où nous ne voulons plus aller.

Un seul objet sur une île déserte, lequel?

S’il y a des vagues, alors sans hésiter une planche de surf.

La qualité que vous admirez chez un entrepreneur ou un dirigeant?

S’il prend de bonnes décisions fondées pour faire avancer l’entreprise et qu’il peut en même temps intégrer ses collaborateurs dans les processus.

Un homme ou une femme pour illustrer un nouveau billet de banque?

Henry Dunant (fondateur de la Croix-Rouge internationale).

Le meilleur livre que vous avez lu ces derniers temps?

Aucun, bien que j’aime beaucoup lire, je n’ai pas eu le temps de le faire ces derniers temps.

Votre moyen de transport de prédilection?

J’aime beaucoup me déplacer à pied, à vélo et, bien sûr, en téléphérique.

L’artiste dont vous aimeriez acheter une œuvre si vous en aviez les moyens?

J’aime beaucoup la musique, si j’avais pu, j’aurais aimé assister à un concert des Highwaymen.

Le film ou la série qui vous a marquée?

Pour l’instant, je ne regarde malheureusement que les émissions d’information.

Qu’est-ce qui vous fait peur dans le monde actuel?

Que les responsables politiques se livrent à de grands jeux de pouvoir et déstabilisent ainsi la situation mondiale. Les destructions causées par les guerres, notamment, sont une immense souffrance pour la population. Nous devrions nous tourner davantage vers l’avenir et réussir à nous unir.

Votre plus grand regret?

Rien en particulier.

Si vous deviez quitter la Suisse, où vous installeriez-vous?

C’est une question très difficile. Je préférerais vivre quelque part à la montagne et, si ce n’est pas possible, au bord de la mer. En tout cas pas en ville, mais près de la nature.

Le dernier achat pour lequel vous avez dépensé sans compter?

Mon équipement de ski de randonnée, dont j’ai besoin pour mes différentes courses en montagne. Ce n’est pas donné, mais avoir un bon matériel est important.

Qu’est-ce qui peut vous faire sortir de vos gonds?

Lorsque des personnes sont traitées injustement.

Votre dernière fête trop arrosée?

La réception pour mon élection au Conseil d’Etat à Zermatt, organisée en mon honneur par la commune de Zermatt.

La plus grande découverte de ces cent dernières années?

Il y en a beaucoup. Nous avons fait des découvertes incroyables dans de nombreux domaines thématiques. Je pense que toutes les connaissances scientifiques sont enrichissantes et nous font avancer.

Si Dieu existe, après votre mort, qu’aimeriez-vous l’entendre vous dire?

Que le monde a besoin de plus de paix.

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