Il y a deux questions que tous les propriétaires désireux de vendre leur maison se posent systématiquement: quand et comment? Dans un article antérieur, nous avons répondu à la première. Aujourd’hui, nous répondons à la seconde: est-il vraiment nécessaire de dépenser une fortune pour vendre sa maison avec l’aide d’un courtier?

Commissions salées

Les agences immobilières traditionnelles se font payer en pourcentage du prix de vente. Entre 3% et 5% selon les régions. En considérant que le prix médian d’un bien s’élève à environ CHF 1,2 million en Suisse (avec de grandes variations selon les régions), cela signifie que les courtiers traditionnels facturent entre CHF 36'000.- et CHF 60'000.- pour chaque maison vendue.

Rappel historique

Face à ces montants très élevés, la question du recours ou pas à une agence immobilière est légitime. Pour y répondre, commençons par une considération historique. Avant l’apparition d’Internet, une commission de courtage, même élevée, se justifiait. A cette époque, en effet, le courtier jouait un rôle primordial pour que des ventes se concrétisent. D’un côté, il possédait un portefeuille de biens à vendre. De l’autre, un réservoir de personnes ayant l’intention d’acheter. C’était donc grâce à lui que se faisait la rencontre entre l’offre et la demande. Sans lui, rien n’était possible. Une rémunération élevée se justifiait ainsi pleinement.

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© Kiiz

La donne a changé

Aujourd’hui, la donne a changé. Le marché immobilier est devenu transparent. L’intégralité des biens standards (hors luxe et fermes isolées) sont sur les deux portails qui occupent de facto une position de duopole: Homegate et ImmoScout24. Dès lors, le courtier a perdu son privilège.

Les moments-clés

Ce qui nous ramène à la question initiale: pourquoi payer grassement un courtier si son rôle se réduit à publier mon bien sur les portails immobiliers? Parce qu’il y a deux moments-clés du processus de vente où l’accompagnement d’un courtier est indispensable:

  1. lors du choix du prix de mise en vente, lequel s’effectue en s’appuyant à la fois sur des outils technologiques et sur la connaissance du marché du courtier
  2. lors de la négociation avec les acheteurs potentiels du prix le plus élevé possible.

Vendre «en amateur»?

Faute d’expérience, un propriétaire non accompagné va immanquablement se comporter «en amateur» et par conséquent commettre des erreurs lors de ces deux phases cruciales de la vente. Résultat: il va réaliser une mauvaise vente, c’est-à-dire une vente en-dessous du prix du marché. Ou alors il ne vendra pas du tout parce qu’il a fixé un prix de départ beaucoup trop élevé.

La meilleure solution

En conclusion, oui, mandater un professionnel est la meilleure solution – et la plus raisonnable – pour les propriétaires désireux de se séparer de leur bien. La bonne nouvelle? Depuis l’apparition des courtiers au forfait, ils n’ont plus besoin de tout faire pour échapper à une commission qu’ils considèrent comme disproportionnée. En effet, les courtiers au forfait proposent toutes les prestations habituelles des courtiers à l’ancienne, mais pour un prix fixe très avantageux (CHF 9500.- dans le cas de kiiz), payable uniquement en cas de vente.

Vendre seul au risque de ne pas vendre, voire de perdre des dizaines de milliers de francs ou vendre avec un professionnel pour un coût raisonnable? Aujourd’hui, poser la question, c’est y répondre.

Marc Comina
Président de kiiz SA
N'hésitez pas à envoyer vos commentaires et questions à marc@kiiz.ch

Pourquoi choisir kiiz?

L’objectif légitime de tout propriétaire désireux de vendre son bien est d’en obtenir le meilleur prix possible. Seul, le risque de vendre en amateur, c’est-à-dire en-dessous du prix du marché est énorme. Il faut donc s’entourer. Comment choisir le bon courtier? Faisons le raisonnement. Les courtiers traditionnels facturent une commission de plusieurs dizaines de milliers de francs ; pour les mêmes prestations, kiiz facture des honoraires de 9500 francs. Y a-t-il photo? Au surplus, kiiz propose des conditions plus avantageuses que ses concurrents au forfait: pas d’acompte, pas de frais cachés, la possibilité de résilier en tout temps, visites comprises, des courtiers expérimentés implantés dans tous les cantons romands et des honoraires encaissés uniquement en cas de vente. Imbattable. Pour choisir le bon courtier, il suffit donc de comparer. Pour vous convaincre que l’offre de kiiz est la meilleure, consultez notre tableau comparatif:

Pourquoi kiiz?