Le chef de la diplomatie helvétique se rend à Bruxelles avec deux arguments de la bonne volonté de la Suisse: le milliard de cohésion débloqué récemment par le Parlement et la levée des restrictions à la libre circulation des personnes pour la Croatie à partir de 2022.

En contrepartie, Ignazio Cassis espère un signe positif de la part de l'UE. Il ne veut toutefois pas poser d'exigences afin de mettre fin à la spirale négative qui plombe la relation entre Berne et Bruxelles. Car en l'état, les fronts sont passablement durcis.

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Outre la rencontre entre MM. Cassis et Sefcovic se tiendra lundi après-midi la 40e rencontre interparlementaire Suisse-UE. Au centre des discussions figurera la question de la participation suisse au programme Horizon Europe et à Erasmus+, selon un communiqué des services du Parlement.

A
ats