Après l'audition de tous les acteurs impliqués et l'analyse de la procédure d'autorisation de construire, la commission de gestion (Cogest) du parlement valaisan estime «qu'aucun élément ne relève du pénal», indique mercredi à Keystone-ATS son président Christophe Claivaz. «L'affaire est classée avec la publication de ce rapport» qui sera discuté par le Grand Conseil en mai, ajoute-t-il.
Pour la Cogest, ce n'est pas tant la construction que l'exploitation de l'oenoparc qui a posé problème. Et cet aspect a été mis en conformité depuis.