«Compte tenu de sa situation, il est clair que cette personne doit désormais recevoir des soins psychiques plutôt qu'une assistance au suicide», déclare dimanche dans un communiqué l'Australien Philip Nitschke, concepteur de la machine controversée.
Cette personne, une Américaine dans la cinquantaine, devait inaugurer la capsule «Sarco» le 17 juillet. Philip Nitschke est désormais occupé à la présélection du prochain candidat «qui espère utiliser l'appareil», précise l'organisation d'aide au suicide «The Last Resort».