Il est ressorti à 2,09 milliards d'euros (1,96 milliard de francs) hors parts minoritaires.

Le chiffre d'affaires a augmenté de 4,3% sur un an à 28,4 milliards d'euros et le bénéfice d'exploitation ajusté de 7,8% à 10,8 milliards d'euros.

En Europe, l'excédent brut d'exploitation (Ebitda) a atteint 1,1 milliard d'euros au deuxième trimestre, soit une croissance annuelle de 8,9% qualifiée de record par le groupe, pour des ventes en hausse de 6,8%, à 3,1 milliards d'euros.

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En Allemagne, le nombre de clients dans les marques de téléphonie mobile maison a augmenté de 311.000, et de 114.00 côté abonnements à une offre de télévision, tirés par l'Euro de football, dont une filiale de Deutsche Telekom dans le câble (Magenta TV) a offert la retransmission de toutes les rencontres.

Aux Etats-Unis, sa filiale T-Mobile a dépassé le cap des 100 millions de contrats, grâce à un gain de 1,3 million de nouveaux clients sur le trimestre écoulé.

En ajoutant les bonnes performances chez les clients en entreprises, il ressort que «toutes nos activités fonctionnent avec succès», a jugé le patron du groupe, Tim Höttges, dans le communiqué.

La trésorerie disponible a par ailleurs augmenté de près de moitié sur un an pour atteindre 5,2 milliards d'euros.

Le poids lourd du Dax à Francfort voit désormais cet indicateur, déterminant pour le niveau des prochains dividendes, atteindre 19 milliards d'euros sur l'ensemble de l'année, contre 18,9 milliards auparavant.

A Francfort, le titre gagnait 1,34% jeudi lors des premiers échanges, dans un Dax en baisse de 0,90%.