Environ un quart des plus de 1000 employés, soit les collaborateurs du siège principal de l’entreprise, travailleront dans les nouveaux locaux, a indiqué lundi le service de presse de Salt à Keystone-ATS. Il confirmait une information du quotidien 24 heures.
«La bonne nouvelle, c'est que l'opérateur reste dans la région. La mauvaise est que ce départ creuse un trou financier pour la commune», a déclaré pour sa part le syndic de Renens Jean-François Clément. Sans compter qu'il s’inscrit dans le contexte de la nouvelle péréquation, bien moins équitable, a-t-il souligné.
Selon 24 heures, la municipalité de Renens indiquait dans un rapport publié en juin dernier que Salt était le premier contributeur communal et que l'entreprise représentait 46% de l'impôt sur les personnes morales, soit 2,3 millions de francs.