L'augmentation des prix, la croissance de la clientèle commerciale et la vente d'appareils, liée, en partie, à la suppression du réseau 3G, ont contribué aux recettes.

Dans le segment mobile, la croissance des clients s'est poursuivie, en dépit de la hausse des prix. L'entreprise a délibérément renoncé aux «promotions agressives visant l'acquisition à court terme», précise le communiqué. Par contre, dans l'internet haut débit, la croissance a été nulle. La migration de la clientèle UPC vers Sunrise est quant à elle achevée.

Contenu Sponsorisé
 
 
 
 
 
 

L'Ebitdaal ajusté a de son côté inscrit une hausse de 1,9% sur un an à 254,1 millions, grâce aux synergies de coûts issues de la suppression du réseau mobile de base d'UPC liée à l'intégration et la baisse des coûts de maintenance. Il a également bénéficié d'une baisse des coûts de location.

Les chiffres sont supérieurs aux prévisions des deux analystes consultés par AWP.

La perte nette est passée à 53,6 millons, après 73,7 millions un an plus tôt, soit une amélioration de 27,3%. La diminution résulte principalement des variations des charges et produits financiers liés aux dérivés de change (impactées par la dépréciation du dollar américain face au franc suisse) et de la baisse des coûts de financement due à la réduction de la dette liée au spin-off.

Les prévisions pour 2025 sont confirmées, y compris la croissance attendue du dividende pour l'exercice 2025, de 2,7% en glissement annuel. La croissance du chiffre d'affaires devrait se situer dans le bas de la fourchette prévisionnelle, soit «largement stable».