L'association des deux substances, administrées par voie orale, a notamment permis d'augmenter «significativement» la durée de survie des patientes sans progression de la maladie, par rapport au standard de traitement actuel composé d'un traitement endocrinien et d'évérolimus.

La multinationale rhénane indique dans son communiqué lundi ne pas disposer à ce stade de données matures sur le taux de survie total des patientes atteintes de cancer du sein positif au récepteur des oestrogènes (ER+) et négatif au récepteur du facteur de croissance épidermique humain, localement avancé ou métastatique, ayant déjà subi un traitement préalable.

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Les effets secondaires indésirables observés se sont avérés comparables avec ceux des deux substances administrées séparément.

Roche rappelle au passage mener de front pas moins de cinq programmes cliniques sur des combinaison du girédestrant dans le domaine du cancer du sein. La substance est conçue pour empêcher les oestrogènes de se lier à leurs récepteurs, interrompant ainsi ou ralentissant la progression des cellules cancéreuses.