L’assurance-accidents obligatoire offre une protection adéquate pour la plupart des collaborateurs et collaboratrices en Suisse. Les éventuelles lacunes peuvent être couvertes par une assurance-accidents complémentaire facultative. Différentes options sont disponibles pour étendre la protection de manière modulaire:
 

  • Versement d’indemnité journalière jusqu’à 100 % du salaire et assurance de salaires dépassant le plafond légal de 148 200 francs par an.
  • Frais de guérison: traitement en division privée ou demi-privée.
  • Rentes ou indemnités supplémentaires en cas de pertes de gain de longue durée.
  • Pas de réduction des prestations en cas de négligence grave.
  • Assurance de capital en cas d’invalidité ou de décès à la suite d’un accident: en cas d’invalidité ou de décès, le capital assuré est versé aux collaborateurs et collaboratrices ou à leurs survivants.

Helsana adapte régulièrement les prestations de son assurance complémentaire. Les exemples suivants illustrent les possibilités de la couverture d’assurance pour les collaborateurs et collaboratrices:

Accidents à l’étranger

En cas de frais de guérison à l’étranger, l’assurance-accidents obligatoire couvre uniquement le double du montant que coûterait le traitement en Suisse. Or une opération d’urgence à la suite d’une fracture de la clavicule qui survient pendant des vacances à vélo à Chypre peut vite coûter plus du double de ce montant. Ces frais supplémentaires sont pris en charge par l’assurance complémentaire.

Rente de survivants

La rente de survivants pour les partenaires de vie constitue une nouveauté. Tant que des enfants communs à charge vivent dans le ménage, Helsana verse une rente de survivants de 40 % du salaire assuré au maximum. S’il n’y a pas d’enfants communs à charge, versement unique d’une indemnité en capital.

Frais de guérison pour les frontaliers et frontalières

Helsana aide les employeurs à faire en sorte que les collaborateurs et collaboratrices en Suisse et à l’étranger bénéficient des mêmes prestations d’assurance. Si une frontalière est par exemple victime d’un accident de vélo et doit payer des frais médicaux dans son pays de résidence, l’assurance complémentaire prend en charge tous les frais de guérison qui auraient été remboursés à ses collègues en Suisse.